Les audiences de la Télévision pour le samedi 22 septembre 2012 mesurées par Mediemetrie. Laurent Gerra apporte la première place à TF1...
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Abonnez-vous !Les audiences de la Télévision pour le samedi 22 septembre 2012 mesurées par Mediemetrie. Laurent Gerra apporte la première place à TF1...
Sky Italia has reiterated that it has no plans to buy Telecom Italia Media, the content division of the Italian telco that includes the terrestrial channel La7. A Sky Italia spokesperson said that the company’s CEO Andrea Zappia had clarified in June that Sky’s expression of interest was limited to gaining access to Telecom Italia ...
Dans le viseur de Michel Boyon, le président du CSA, l'organisation de la chaîne...
Selon nos informations, Pierre-Jean Bozo aurait été écarté de la présidence du quotidien gratuit 20 Minutes France. Ancien DG de NRJ Group, il avait rejoint le groupe de presse gratuite en 2004. Il devrait être remplacé par Olivier Bonsart, directeur délégué de Sipa Ouest France...
Le Figaro est absent des kiosques vendredi à la suite de mouvements sociaux dans ses impimeries,indique le quotidien sur son site internet. La direction a pris la décision de ne pas sortir la version papier du journal en raison d'un blocage des imprimeries, un mouvement lié au conflit chez Presstalis (Ex-NMPP), indique-t-on par ailleurs de source syndicale.
Sylvie Genevoix, ancienne journaliste et ancienne Conseiller du CSA de 2005 à 2011 est décédée d'un cancer dans la nuit du 20 septembre 2012...
Alain Weill, le président de la chaîne d'info en continu, vient d'écrire au CSA pour s'opposer à une telle éventualité...
Le 28 septembre prochain, Presstalis sera fixé sur son sort lors d’une audience du tribunal de commerce. Il manque 200 millions d’euros pour une restructuration. Matignon est en première ligne. Tout est mis en oeuvre pour éviter cette issue. Le …
L'affaire s'étire dans le temps. Goom Radio est toujours le favori pour reprendre la radio du groupe Lagardère. Les autres candidats à cette reprise se sont d'ailleurs vu mentionné par courrier leur échec au profit de la société présidé par Roberto Ciurleo. Néanmoins cette cession est loin d'être réglée, puisque Goom Radio, qui n'est pas dans une situation économique réjouissante, n'a pas l'argent pour réaliser cette acquisition. Selon les Echos, Le groupe Fimalac, du financier Marc Ladreit de Lacharrière, pourrait venir en aide à Goom Radio. Lagardère céderait 51% de la radio, mais conserverait la station en régie. La valorisation atteindrait à peine 20 millions d'euros.
Le quotidien L'Equipe est une nouvelle fois absent des kiosques ce jeudi en raison d'une importante grève au sein de la rédaction. C’est la deuxième fois en deux semaines que le plus grand quotidien sportif national est aux abonnés absents, après un défaut de parution le 13 septembre. Le mouvement social, provoqué par l'annonce le 10 septembre d'un projet de réorganisation et d'économies qui devrait supprimer 46 postes sur un total de 500, a été voté mercredi soir à 151 voix contre 93, avec 25 bulletins blancs et 2 nuls. La direction regrette "que le seul mode de discussion soit la grève" et va "essayer d'être le plus pédagogique possible", tandis que le SNJ-CGT "trouve que le plan de relance est très flou" et dénonce l'empressement à sabrer des postes d'une entreprise bénéficiaire depuis 40 ans "simplement parce que le résultat opérationnel était négatif en 2011". Il oublie de dire que les ventes du quotidien ont fortement reculé depuis 2006, passant de 350 528 à 285 407 exemplaires, selon les chiffres de l'OJD. Mais là où les journalistes du print l'ont vraiment mauvaise, c'est que ces économies surviennent au moment où le groupe a dégagé des fonds substantiels pour lancer L'Equipe Tv sur la TNT. Difficile donc de croire à la cïncidence, mais en attendant, un expert a été désigné par le comité d'entreprise et rendra ses conclusions dans vingt-deux jours.
Le Parisien Magazine existe ! Il sera vendu avec le TV Magazine comme supplément du journal du groupe Amaury, chaque vendredi. L'idée et le projet d'un tel magazine avait été souvent évoqué, des maquettes avaient été réalisées, mais sans jamais aboutir. Cette fois, c'est Frédéric Allary, l'un des fondateurs de Quoi.info et François Vey, rédacteur en chef, qui ont réussi le coup. Le magazine vise à rajeunir le lectorat tout en proposant des contenus plus "haut de gamme", pour aussi toucher des cibles plus "CSP+" que le journal. Le magazine est réalisé par une équipe de 35 personnes, et certaines prestations sont aussi faites par les équipes de Quoi.info. Le magazine étalera sur 130 pages chaque semaines des portraits, des reportages et des enquêtes. Le tout pour 2,25 euros, soit un euro de plus pour le magazine, ce qui fait dire au groupe Amaury qu'une petite baisse des ventes de 10% est envisageable.
41 départs volontaires ces derniers mois au sein du Groupe le Parisien après le plan mis en place #LeParisienMagazine
— Jean-Michel DeMarchi (@JM_De_Marchi) September 19, 2012
C'est la grande lessive ! Le coût de la distribution des journaux va connaître une forte revalorisation à la hausse mettant en danger les titres les plus faibles économiquement. Les MLP (messageries lyonnaises de presse) vont subir une augmentation de 35% des tarifs de péréquation, pour absorber le plan de restructuration de Presstalis. Autrement dit, le gouvernement et les grands éditeurs ont choisi de sacrifié les "petits magazines" pour sauver le système de distribution de la presse quotidienne, et les emplois des ouvriers du Livre. Presstalis devrait aussi être mis à contribution avec une augmentation des tarifs, mais inférieure à 35%. Une situation paradoxale pour le ministère de la culture et de la communication qui a suivi ce dossier, et pour qui la solution réside dans un affaiblissement in fine de la diversité des titres proposés en kiosque. Reste à trouver une solution pour les aides à la presse, au point mort depuis le début d'année. Aurélie Filippetti s'était montrée récemment favorable à une taxe sur Google.
Exclusif : Remaniement à TF1: le DGA chargé de la stratégie Arnaud Bosom devient DRH à la place de JP Rousseau venu de Bouygues Tel en 2007
— Jamal Henni (@jamalhenni) September 19, 2012
Le Conseil d'Etat a rejeté le référé de la chaîne cryptée contre l'Autorité de la concurrence...
La nouvelle commence à se répandre comme une trainée de poudre dans les couloirs de la Une. La direction de TF1 veut trouver les moyens de réduire de 10% la masse salariale. Chacun des collaborateurs de la chaîne a donc reçu, ou va recevoir, une proposition de la part de la direction des ressources humaines. Sans parler de plan social, la Une ouvre donc le guichet départ à ses salariés. 350 postes sont concernés pour avant la fin de l'année. Ces restrictions sont évidemment la conséquence d'une prévision pessimiste sur le marché de la publicité de l'année prochaine, doublée d'un impact des baisses d'audience enregistrées par la chaîne. Nonce Paolini a tranché, et personne ne sera épargné.
Je ne comprends pas pourquoi la limitation des séries américaines décidée par le CSA pou D8 ne s'applique pas aussi à TF1 et M6
— Pascal Rogard (@fandoetlis) September 18, 2012
Ca y est, le CSA vient de donner une fois pour toute son feu vertau rachat des chaînes Direct Star et Direct 8 par le groupe Canal + après des mois d'allers-retours et de controverses. Evidemment, le conseil pose des conditions qu'il a négociées avec le groupe de télévision payante ces derniers jours après que celui-ci a rejeté les termes posés lors du premier verdict du CSA. Et il faut croire que, pressé par le temps, le groupe Canal+ était prêt à tout accepter, puisqu'au lieu d'attendrir ses exigences, le CSA les a au contraire durcies. D'abord, celles prévu lors de la première décision sont maintenues : Canal+ ne pourra signer un accord cadre qu'avec un seul des studios américains pour ses chaînes gratuites, ne pourra pas acquérir les droits gratuits et payants de plus de 20 oeuvres cinématographiques par an (dont 10 maximum pourront afficher un budget supérieur à 7 millions d'euros) et devra mettre en place deux centrales d'achats autonomes : une pour son activité de télévision payante, une autre pour la gratuite. S'ajoutent ensuite les dispositions décidées ces derniers jours par les Sages, qui ont probablement tendu l'oreille aux réclamations des chaînes concurrentes : pendant trois ans, D8 ne pourra proposer qu'une soirée consacrée aux séries américaines par semaine, contre les deux souhaitées par la chaîne cryptée et attendre un an et demi après la diffusion payante des séries françaises vues sur Canal+ pour pouvoir à son tour les programmer. Une autre restriction concerne les longs métrages : au moins un tiers des acquisitions devra concerner des films à petits budgets (moins de 7 millions d'euros) tandis qu'un maximum de 36% des films achetés pourront provenir du catalogue de Studiocanal. Enfin, les obligations de production d'oeuvres patrimoniales européennes ont été fixées à 8,5% du chiffre d'affaires de la chaîne.
Les informations fuitent quelques heures avant la décision du conseil supérieur de l'audiovisuel. Les sages devraient en effet selon toutes vraisemblances accorder au groupe Canal Plus un feu vert pour le rachat de Bolloré Média. En contre-partie, de cette acquisition qui a agité le petit monde des chaines françaises ces derniers mois, le CSA devrait charger le cahier des obligations. Notamment, pour la chaine Direct Star, ex Virgin 17, lancée par le groupe Lagardère sur une thématique musicale, puis racheter par Bolloré. Ce dernier avait alors demandé à l'instar du groupe Lagardère à diminuer les obligations de diffusion de programmes musicaux (près de 75% de l'antenne), sans succès, les sages du CSA ont toujours refusé. Il faut dire qu'une chaîne musicale faisait partie du programme du CSA lors du lancement de la TNT, afin de répondre à un impératif de diversité, et aussi à une demande de la filière musique. La convention de Direct Star n'a donc pas évolué et le groupe Canal Plus va devoir faire avec. La filière musique est d'ailleurs très attentive à ce dossier. Il y a peu de chance qu'elle lâche ainsi une fenêtre importante de diffusion de la musique, dans un paysage audiovisuel où la place de la musique a considérablement diminué.
Condé Nast, déjà propriétaire de nombreux titres de la presse magazine en France ( Glamour, GQ, Vogue ...), souhaiterait lancer, avant l'été 2013, une édition locale de son célèbre Vanity Fair. Aux commandes de cette hypothétique nouvelle publication de luxe, Michel Denisot, animateur star de Canal + qui apportera dans ses bagages son carnet d'adresses bien rempli. Xavier Romalet, PDG de la filiale française de Condé Nast, a bien conscience de se lancer dans un marché déjà fort encombré, mais mise sur la différence de son futur magazine:"un journalisme de qualité, des papiers longs, des photos (...), et une mise en scène glamour". La publication devrait être vendue entre 4 et 5 euros, et 80% du contenu sera exclusif à l'hexagone, le reste provenant de la rédaction outre Atlantique.
Le pure player Atlantico vient de boucler deux levées de fonds pour un montant total dépassant les 2 millions d'euros : une première levée de 575 000 euros et une seconde de 1,5 million cet été. Gérard Lignac, ancien président du groupe de presse « L'Est Républicain » et principal investisseur lors de ces récoltes, détient donc dorénavant un tiers du capital de la société. Jean-Sébastien Ferjou, cofondateur et directeur de la publication assure cependant que le groupe de cofondateurs conserve la place d'actionnaire majoritaire, assurant selon lui l'indépendance éditoriale. Avec ces nouvelles rentrées, Atlantico entend développer plusieurs services payants: des ebooks qui seront publiés en partenariat avec Eyrolles (qui sera donc intéressé aux bénéfices de ceux-ci) mais aussi une sorte de "Best Of" hebdomadaire regroupant les meilleurs articles de la semaine au format numérique. En attendant, Atlantico affirme avoir atteint ses objectifs avec une audience de plus d'un million de visiteurs uniques par mois (en hausse) et un équilibre à l'horizon 2014.
Les coups de butoir portés par le groupe Canal à la porte du CSA ont finalement été couronnés de succès puisque le conseil va valider le rachat par le groupe de télévision payante des deux chaînes TNT du groupe Bolloré, Direct 8 et Direct Star. Pourtant, Canal + avait rejeté les conditions posées par cette autorité, menaçant même de gérer les chaînes sans en être propriétaire. D'autre part, une fronde généralisée avait uni pour un temps TF1, M6 et France Télévisions, qui jugeaient que ce rachat leur porterait préjudice, propulsant un groupe de télévision payante aux manettes d'une chaîne gratuite et déséquilibrant ainsi la concurrence. On ne connait pas encore les termes de l'accord qui a fini par être conclu entre le CSA et le groupe Canal+, mais dès jeudi, Direct8 deviendra D8 et sera propulsé par un énorme budget pour grignoter des parts d'audiences aux autres chaînes de la TNT. Avec un budget triplé pour Direct 8 , les chaînes gratuites ont en effet du souci à se faire, d'autant que le groupe Canal + compte y propulser des animateurs haut de gamme, de quoi faire de l'ombre aux stars déchues de la télé-réalité qui hantent les plateaux de la TNT...
Didier Varrod, animateur notamment de l'émission Electron Libre sur France Inter, vient d'être nommé en remplacement de Bernard Chérèze directeur de la "musique" sur la station phare du service public. Il anime depuis deux ans une émission dans la grille matinale de France Inter, Encore un matin (à partir de 7h24), qui selon Télérama a décroché la meilleure audience de la station.
Le milieu du journalisme est bien difficile. D'un côté, les revenus publicitaires sont loin d'atteindre des niveaux strastophériques en ce moment, de l'autre, les lecteurs ont de moins en moins envie de payer pour des informations qu'ils estiment pouvoir obtenir gratuitement ailleurs. En somme, c'est la crise, et ces dernières années en France, quand un secteur souffre, sa vache à lait libératrice est toute trouvée : Internet.
Le CSA devrait rendre public sa décision concernant la reprise des chaînes Direct 8 et Direct Star par le groupe Canal+...
Suite au décès de Pierre Mondy, qui a interprété pendant 12 ans le commissaire Cordier sur la Une, TF1 diffusera...
La réaction du couple princier, en visite en Asie du Sud-Est, ne s'est pas faite attendre : vendredi, après la publication dans Closer de...
Décidément remonté à bloc, le groupe Canal + a décidé de faire appel au Conseil d'Etat afin de faire annuler une partie des conditions posées par l’autorité de la concurrence pour la validation de la fusion entre les bouquets TPS et CanalSat. Les deux parties prenantes se rencontreront donc le 4 octobre place du Palais Royal afin de présenter leurs argumentaires, et le Conseil d'Etat donnera quelques jours plus tard son verdict. S'il rejette la demande de Canal+, les injonctions seront maintenues, mais s'il annule la décision de l'Autorité de la concurrence, il faudra attendre l'examen du dossier sur le fond, et donc quelques semaines de plus, pour avoir la décision définitive du Conseil.
Le groupe veut faire annuler les dernières décisions de l'Autorité de la concurrence, qui maintient la fusion sous conditions.