Canal+ France perd 542 000 abonnés

Vivendi publie les chiffres pour son activité sur les neuf premiers mois de l’année. UMG est en progression quand le groupe Canal Plus connait une crise sans précédent. 

Vivendi vient de publier ses résultats pour les neuf premiers mois de l’année 2016. Si Universal Music Group continue sur sa bonne lancée au niveau mondial, le groupe Canal connait la pire…

Vivendi trébuche sur Canal Plus

Vivendi vient de publier ses résultats pour l’année 2016. Le Pdg du groupe Arnaud de Puyfontaine s’est montré optimiste, se risquant à annoncer une reprise de la croissance pour 2017. Depuis 2014, le groupe Canal Plus a perdu 800 000 abonnés.

Vivendi marche sur deux pattes : UMG et le groupe Canal Plus. Si la musique se porte relativement bien, l’audiovisuel est bel et bien abimé. Le groupe de télévision payante accuse une baisse de 492 000 en un an de son portefeuille d’abonnés sur la France. Comme nous l’avions révélé, ce chiffre…

First Artist Bank, première banque communautaire des artistes et des fans

L’initiative a de quoi surprendre. Le musicien, auteur, compositeur et producteur Dave Stewart, ex-guitariste du duo Eurythmics dans les 80’s, a annoncé la création d’une nouvelle banque des artistes à Londres, sur le modèle de la Farmers Bank américaine, banque communautaire créée aux Etats-Unis par les fermiers eux-mêmes il y a plus d’un siècle.

Une banque entièrement dédiée au secteur de la création, dans les domaines de la musique, du cinéma, de la télévision ou du spectacle, c’est le nouveau projet dévoilé par le musicien et producteur anglais Dave Stewart, ex-guitariste du duo Eurythmics dans les anneés 80,…

M-P. Biosse & F. Goldsmith : « Retrouver une alliance entre producteurs, distributeurs et exploitants »

C’est dans l’optique d’accentuer la défense de leurs intérêts dans un environnement toujours plus concurrentiel que les producteurs indépendants s’organisent avec davantage d’union. Marie-Paul Biosse-Duplan et Frédéric Goldsmith, délégués généraux de l’Union des Producteurs de Cinéma, s’expriment longuement quant aux défis majeurs de la profession, en matière de financement, de tournages et d’exploitation, en passant par l’échelle européenne et l’export.

La fusion entre l’Association des Producteurs de Cinéma et l’Union des Producteurs de Films est intervenue le 9 mai dernier. Pouvez-vous revenir sur le contexte ainsi que les raisons qui ont provoqué cette fusion ?

Le rapprochement entre l’APC et l’UPF était en cours depuis un certain temps, notamment avec des réunions communes des Conseils d’administration. C’est dans cette continuité qu’a été ressentie la nécessité de parler d’une seule voix, pour être davantage entendus des pouvoirs publics, et avoir une capacité d’action renforcée. Les défis sont importants en ce qui concerne la production cinématographique. La création de l’Union des Producteurs de Cinéma est une forme d’appel au rassemblement des organisations de producteurs. Aujourd’hui nous réunissons 190 membres, tous producteurs de long-métrages et sur un spectre large, qu’ils soient nouveaux venus dans la profession ou bien installés avec la production de plusieurs films par an.

Quels vont être les changements sur le plan structurel de cette fusion ? Vous parlez de la nécessité de parler d’une seule voix, ce qui inclut une forme d’unanimité…

Tout d’abord, Xavier Rigault et Alain Terzian assureront tous deux la co-présidence de l’Union des Producteurs de Cinéma durant deux ans. Nous en sommes actuellement les délégués généraux. A l’issue de cette période de transition, un seul Président sera élu. Nous avons l’habitude de devoir concilier différentes orientations dans l’intérêt collectif. La défense de la production indépendante et de la diversité est notre ligne de force.

Le SPI n’a pas souhaité rejoindre l’UPC. Cette discordance nuit-elle aux producteurs…

SFR martèle son message, mais peine à convaincre

SFR a expliqué une fois encore sa stratégie à l’occasion d’une annonce officielle d’une modification de ses forfaits.

Alain Weill sait qu’il ne peut pas trop promettre. Ce matin, le nouveau patron de SFR avait pourtant envie d’en dire plus pour rassurer les marchés sur la santé de SFR. Prudent, il a préféré toutefois s’en tenir à des promesses, insistant sur les signes d’un redressement de l’opérateur qui pourrait se voir dans les prochains résultats au printemps. En attendant, le discours de l’opérateur sur la convergence avec les contenus peine à convaincre.

SFR apparaît de plus en plus comme un géant déséquilibré, contraint de mener deux batailles qui dans les faits…

Taxe streaming : le gouvernement laisse une chance à la paix

Si le secteur musical ne parvient pas à se mettre d’accord sur une autre modalité de financement du Centre national de la musique, le Président de la République soutiendra la taxe streaming, a-t-il annoncé hier. La concertation, que la ministre de la culture n’a pas encore commencée, s’annonce acrobatique. Le gouvernement pourrait sauter l’obstacle législatif en utilisant un 49.3 pour sa loi de finances.

Entre ceux qui sont totalement pour, ceux qui y sont vivement opposés et ceux qui estiment que le projet n’est pas suffisamment abouti, la question du financement du Centre national de la musique par une taxe streaming continue de fracturer la filière musicale. Le chef de l’Etat vient de mettre son grain de sel dans ce débat tendu, avec une annonce remarquée à l’occasion de la Fête de la Musique. S’il n’y a pas d’accord entre les acteurs de la filière musicale au 30 septembre prochain, « le gouvernement se réservera la possibilité de saisir le Parlement d’une contribution obligatoire des plateformes de streaming », a t-il déclaré, à la surprise générale. Il est vrai qu’Emmanuel Macron doit trouver coute que coute une solution pour financer de manière pérenne l’établissement public qu’il a lui-même créé. Le Président donne à présent un ultimatum aux protagonistes – producteurs, artistes, auteurs, éditeurs, plateformes gratuites et payantes, spectacle vivant – de se mettre d’accord, sinon la taxe – dont le profil exact n’est pas encore défini – sera proposée au vote dans la loi de finances 2024.
Concertation retardée
Mais pour qu’accord il y ait, encore faudrait-il commencer la concertation. La ministre de la culture a d’ores et déjà indiqué qu’elle était plutôt favorable à la proposition de taxe streaming qui avait été déposée sur son bureau par la DGMIC…

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