Les États-Unis pas loin de mettre la main sur le pactole des multinationales

Posté par Isabelle Szczepanski le 20 septembre 2016

« Protectionnisme », « jalousie », « foutaises politiques » : les éléments de langage utilisés par les multinationales américaines contre la Commission Européenne sont les mêmes que ceux utilisés par la Maison Blanche. Tim Cook ne se cache pas d’être « totalement d’accord » avec un Jack Lew auquel il refusait il y a quelque temps de payer le moindre impôt sur l’argent gagné par Apple à l’étranger. C’est là l’un des signes du rapprochement en cours – au détriment de l’Europe – entre ceux qui gardent des monceaux de cash en dehors des États-Unis d’un côté, et l’administration fiscale de l’Oncle Sam qui veut cet argent de l’autre.

Ce n’est un secret pour personne : depuis des années, la Maison Blanche regarde avec envie le magot gagné hors de son territoire – 2000 milliards de dollars au bas mot – par les multinationales américaines comme Apple et Google. Mais l’Oncle Sam ne peut y toucher : cet argent est et restera dans les paradis fiscaux dans lesquels il a été transféré. C’était du moins le laïus répété par les Financial Officers de ces multinationales jusqu’à la décision de la Commission européenne dans l’affaire Apple – Irlande d’août dernier….

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