Mais que diable avait-elle besoin de mettre son nez dans cette affaire, la ministre de la Culture ? Valérie Trierweiler, dont la cote de popularité avait pris du plomb dans l'aile, s'était fendue d'une interview dans Ouest France, expliquant sa position nouvelle, vis-à-vis de son travail, et des contraintes qui s'exerçaient. En somme, elle, journaliste, ne pouvait pas journalister en paix, sous peine d'être prise en flagrant délit de collusion...
"Ils pouvaient pas interroger Duflot là-dessus ?!"
Chère Valérie, première dame réfutant ce terme depuis l'élection de son concubin, François Hollande, à la présidence du pays, n'a eu de cesse que de vouloir conserver son indépendance financière. Et c'est encore ce qu'elle répète dans cette nouvelle interview.
Je suis journaliste à Paris Match depuis 22 ans, je tiens une chronique littéraire qui n'a rien à voir avec la politique. Mes enfants sont à ma charge et je ne vois pas comment faire sans salaire. La France détient le ...