Il faut sauver le soldat Taratata
C’est très entouré par le monde d’Internet, mais aussi celui de la radio, du cinéma et de la télévision, que Nagui a présenté hier son plan de « revival » pour Taratata, un mélange dont les ingrédients principaux sont le « web 2.0 », la télévision en différé, la radio et les concerts live.
Taratata vivra « coûte que coûte », et le présentateur Nagui a fédéré du bric, du broc et de l’intelligence tactique pour qu’il en soit ainsi. Le ton est marqué dès le départ : c’est Vente-Privée, la société de Jacques-Antoine Granjeon, qui a pris en charge l’organisation de la conférence de presse marquant la renaissance de la seule émission de musique live qui restait au paysage audiovisuel français jusqu’à la décision de France Télévisions d’y mettre fin. Fédérer autour des marques – et Taratata en est une – c’est le métier de Granjeon et il le fait bien. Reste à voir si « le marché », c’est-à-dire le web-spectateur, avalisera cette démarche d’un genre nouveau qui est de transporter une émission…
Profitez d'un accès illimité à nos articles :
Abonnez-vous dès maintenantDéjà abonné ? Connectez-vous ici. Connectez-vous ici.
Suivez-nous sur Twitter: @3l3ctr0nLibr3