Piratage, Deezer, Spotify, et Aurélie Filippetti, le grand bazar français de la culture numérique !
L’Hadopi est une patate brulante que les politiques ont toujours autant de mal à appréhender. Mais l’histoire récente de cette loi démontre que la France reste un des grands bastions du piratage, récalcitrante à l’offre légale.
Il y a un paradoxe français. Notre cher pays a été le premier à instaurer une législation spécifique pour rappeler aux internautes ce qui était licite ou non sur le réseau des réseaux, en matière de mise à disposition et de téléchargement des œuvres protégées par le droit d’auteur. Ce dispositif, connu sous le nom de Hadopi, a depuis son vote par le Parlement fait l’objet de controverses à n’en plus finir. Inutile et coûteux pour les uns, indispensable et précieux pour les autres, l’Hadopi avait aussi apporté sa pierre au débat. Et en toute modestie, l’autorité indépendante avait refusé de tirer des conclusions définitives sur les fruits de son action. La présidente de la CPD, Mireille Imbert-Quaretta avait cependant choisit de parer les « coups » en insistant sur les faibles taux de « récidive ». Un internaute averti en vaut deux, et plus, si l’on en croit la présidente de la puissante…
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