MySkreen et l’offre légale: les internautes « ni pirates ni pigeons »
Et s’il suffisait d’améliorer le référencement de l’offre légale pour lui faire prendre son envol face à des sites pirates qui deviendraient au contraire très compliqués d’accès ? C’est peu ou prou le pari de la compagnie MySkreen qui annonce à quelques jours des Rencontres du cinéma de Dijon, un partenariat inédit avec Google.
Ce n’est pas un secret : la consommation de cinéma en France est en train de se métamorphoser, s’éparpillant entre une offre légale à la chronologie semble-t-il immuable (en dépit des tièdes invitations au changement lancées par le rapport Lescure dont on attend toujours qu’il soit suivi d’effets concrets) et une offre pirate quasi intarissable (malgré les demandes de déréférencement toujours plus nombreuses reçues par les moteurs de recherche, Google en tête).
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Ces changements, on avait déjà pu les constater avec une étude de la Hadopi, où étaient décortiqués les comportements des internautes ainsi que leurs griefs à l’égard d’une offre légale jugée trop chère, et pas assez récente ni complète, notamment en matière de cinéma. On les retrouve également dans les travaux menés par Médiamétrie…
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