Apple, la théorie de l’élastique

Posté par Emmanuel Torregano le 29 octobre 2013

Apple publie ses résultats pour le quatrième trimestre. Sur l’année fiscale, la firme a engrangé 171 milliards de dollars de revenus pour 37 milliards de résultat net.

Depuis quelque temps les résultats d’Apple sont surveillés comme le lait sur le feu et scrutés comme un fichier de la NSA. Les marchés sont persuadés que l’équation de la réussite de la firme cofondée par Steve Jobs ne peut tenir sur la durée. L’avenir serait à la médiocrité moyenne triomphante, et pas à la montée vers le haut de gamme forcément cher, élitiste donc rare. Apple ne peut donc qu’être un outsider, une parenthèse et comme il se doit, il faut qu’elle se referme. Le plus tôt possible serait le mieux, car sinon comment en effet justifier les économies de toutes sortes, le meilleur ressort du libéralisme mondialisé, qui ne jure que par la compression des prix et la croissance infinie des parts de marché.

Traditionnellement ce trimestre, marqué par l’été…

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