Libération, un besoin urgent d’argent frais
Le journal ne vit pas cette fois une crise comme il en a déjà connu tant. Cette fois sa survie est engagée. Les caisses sont vides. Les actionnaires auraient mandaté une banque et ont interpellé Bercy.
Le plan des actionnaires présenté après trois mois de mensonges a été la goutte qui a fait déborder la colère des salariés. Une réaction brutale qui n’arrange rien, qui cristallise le conflit entre les salariés du journal et ses propriétaires, que l’on peut bien moquer, mais qui finalement n’est pas la pire des solutions. Car, de toutes les façons, la situation financière de Libération exige une solution d’urgence….
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