Sacem : misère numérique
La Sacem va plutôt bien et est toujours aussi efficace : elle a atteint 1,2 milliard d’euros de collectes au total l’an dernier dont près de 1,1 milliard ont été redistribués à des sociétés mandataires, aux artistes, aux éditeurs et à divers programmes culturels et sociaux. Seul point noir : le numérique, qui ne représente que 30 millions d’euros de collecte alors même qu’il est crucial d’améliorer ce type de revenus dans une industrie musicale en mutation, qui a permis l’injection de fonds importants dans des nouveaux acteurs qui utilisent la musique mais semblent encore loin de remplir leur promesse de monétisation.
Nul doute que la nomination de Cécile Rap-Veber, annoncée…
Profitez d'un accès illimité à nos articles :
Abonnez-vous dès maintenantDéjà abonné ? Connectez-vous ici. Connectez-vous ici.
Suivez-nous sur Twitter: @3l3ctr0nLibr3