Le WSJ renforce son paywall, Google ne le référence quasiment plus
La presse anglo-saxonne commence à sérieusement douter des avantages du tout-gratuit ou du partiellement gratuit financé par la publicité. Ce modèle, poussé notamment par Google et Facebook, a obligé les éditeurs à ouvrir leurs paywalls, et à exposer leurs articles même payants à un piratage de masse, au détriment de leur taux d’abonnement. Le Wall Street Journal en a fait les frais, et a arrêté son programme de « premier article gratuit ». Cette décision a permis l’augmentation du nombre d’abonnés, mais elle a un prix : la baisse drastique du nombre de visiteurs provenant du moteur de recherche de Google, et donc du revenu publicitaire.
La presse ne bénéficie que très peu de la croissance de la publicité numérique, mais continue de tirer des revenus vitaux de cette source. En cause, le duopole de Google et Facebook sur la publicité…
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