Le CSA se veut au centre de la mutation économique de l’audiovisuel

Posté par Isabelle Repiton le 2 octobre 2014

Ne l’appelez pas le gendarme du secteur. Pour Olivier Schramek, son président, le rôle du Conseil Supérieur de l’Audiovisuel dépasse largement celui de faire respecter la loi aux acteurs du secteur. Le CSA a une vocation naturelle à être « la maison de l’audiovisuel » a t-il dit en accueillant le 2 octobre un séminaire sur le thème : « L’audiovisuel : enjeu économique » au siège du Conseil.

Et la « maison CSA » a ouvert grand ses portes, le 2 octobre à tout le petit monde de l’audiovisuel – diffuseurs, producteurs, auteurs – mais aussi  aux parlementaires, à l’autorité de la concurrence… au début pour entendre la ministre de la Culture Fleur Pellerin. Et surtout à la fin pour serrer la main à François Hollande, venu clore la journée à 17h.

Le président de la République au CSA : un succès pour Schrameck

Cette visite présidentielle, une première dans l’histoire de l’institution, suffirait à elle seule à consacrer le succès de la manifestation pour Olivier Schrameck et le rôle central qu’il veut faire jouer au Conseil. François Hollande a rappelé que dans son élection, c’est lui qui avait restauré le pouvoir de nomination du CSA et qu’il le laissait agir en toute indépendance. Toutefois, les salariés de LCI, la chaîne à laquelle le CSA a refusé…

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