Apple bien parti pour prendre le pouvoir sur la Fintech
Apple construit patiemment les fondations de sa domination sur le monde de la Fintech. Avec une touche personnelle de la part de son patron, Tim Cook, une dimension « sociale » et « humaniste » qui n’était pas l’ordinaire de Cupertino, avec Steve Jobs.
Rappelez vous… Apple un beau jour de 2001 présentait un baladeur musical équipé d’un disque dur. Bien malin celui qui aurait alors prédit que la firme née en Californie pour y fabriquer des ordinateurs allait devenir l’acteur majeur du développement de la culture et du divertissement dans l’univers du numérique ! Depuis, Apple a « refait le coup » plusieurs fois, sur le marché du smartphone avec l’iPhone, ou encore de la tablette avec l’iPad. Dans tous ces cas, la méthode est la même : Apple lance un produit à haute valeur ajoutée qui fait place nette, et coule les acteurs présents, incapables de réagir car profitant d’une quasi rente de situation. L’agilité de la pomme est telle, par la suite, qu’aucun de ses concurrents n’est capable de reprendre le dessus. R&D, captation des fonctions plébiscitées…
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