Le marché français de la musique désavoué dans les bacs

Posté par Philippe Astor le 24 mars 2014

Nette progression des revenus du streaming d’une part ; résistance accrue du marché physique d’autre part. Ce sont les deux ingrédients d’une reprise du marché de la musique enregistrée dans de nombreuses régions du monde. Mais les deux se conjuguent rarement. Et il semble que la France ne puisse compter durablement ni sur l’une, ni sur l’autre.

Si la tendance actuelle se confirme, le marché français global de la musique enregistrée, crédité par l’IFPI d’une hausse de 0,8 % en 2013, devrait replonger…

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