Aurous à peine sorti déjà à la barre

Aurous vient d'être lancé dans une première version dite "Alpha" et déjà les principales majors de la musique lui intente un procès pour violation de leurs droits. Aurous se présente comme une sorte de PopCorn Time - un logique qui se sert du P2P pour diffuser des films et des séries de façon illicite avec une interface copiée sur celle de Netflix. Aurous n'est pas à proprement parler une application P2P, mais son efficacité est redoutable et les ayants-droit on décidé de frapper fort en amont pour éviter la contagion auprès des amateurs de musique. Le créateur de l'application s'est défendu sur Twitter notamment promettant de se battre, en affirmant d'ores et déjà que la plainte des ayants-droit menée par la puissante RIAA était "vide". Le créateur du logiciel a reçu déjà le soutien de l'Electronic Frontier foundation. Andrew Sampson avait d'ailleurs expliqué que sa création devait être considéré comme une application de lecture de musique comme une autre, à l'instar de Spotify ou Apple Music. La RIAA affirme au contraire que Aurous utilise du matériel protégé par la propriété intellectuelle illégalement stocké sur des serveurs en Russie, notamment.