Etat des lieux de la synchronisation musicale
La table ronde « synchronisation et musique à l’image : les bonnes pratiques » du salon EditA fut l’occasion d’un point sur la situation en France mais aussi à l’international de cette source de revenus importante pour les créateurs de musiques. Et aussi d’un peu de « bashing » en la matière sur certaines pratiques d’agences publicitaires ou de producteurs de l’audiovisuel…
Publicité, films, programmes télévisuels, génériques d’émissions, musiques pour les nouveaux médias en ligne : « la musique à l’image, c’est autour de 50% du répertoire Sacem », a expliqué Olivier Delevingne, compositeur qui participait à la table ronde de mercredi dernier avec sa casquette de trésorier de l’Union des Compositeurs de Musiques de Films (UCMF). « Cela représente plus de 400 millions de revenus par an, c’est conséquent. La synchronisation n’est donc pas seulement une chapelle. Par exemple, 50% des programmes télévisuels sont faits avec de la synchronisation musicale. »
« Bonne réputation musicale de la France »
La synchronisation concerne soit des oeuvres spécialement composées,…
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