La taxe YouTube proposée au vote des sénateurs

Malgré un produit annuel de quelques millions d'euros au mieux, la taxe YouTube déchaine les passions. Le monde de la culture en a fait un texte essentiel, quand les plateformes du Web de l'autre n'ont pas de mots assez durs pour le condamner. Hier soir, en commission des finances, le texte a subi une slave de critiques de la part du rapporteur général. De leur côté, les représentants du cinéma ont par l'intermédiaire de l'ARP souligné que "il ne s’agit donc pas seulement ici de voter une taxe, mais d’ouvrir une nouvelle ère dans laquelle les plateformes deviendraient des partenaires à part entière de la création audiovisuelle, cinématographique et numérique". Le texte avait été voté par les députés en fin de séance le 6 avril dernier.