Etats généraux du livre : les auteurs sur le qui-vive
Le Conseil Permanent des Ecrivains organisait aujourd’hui la deuxième édition des Etats Généraux du Livre : la session de ce matin permet d’affirmer que, s’il y a eu des progrès en matière de droits sociaux en un an, de nombreuses questions demeurent en suspend, parmi lesquelles la future réforme des retraites. Autre sujet d’importance pour de nombreux auteurs présents ce matin : la charge de l’obligation du certificat de précompte, qui appartient aujourd’hui aux diffuseurs, qui l’appliquent avec difficulté.
La première chose qui ressort des deuxièmes Etats Généraux du Livre qui se tiennent aujourd’hui à la Maison de la Poésie à Paris est que les services des Ministères de la culture et des affaires sociales ont pris acte des plaintes des auteurs qui étaient ressorties de la première édition, en mai dernier. Nicolas Georges, directeur général du livre et de la lecture à la DGMIC, a tenu à déclarer ce matin : « nous étions venus avec crainte lors de la première édition des états généraux. Nous n’étions pas fiers de la manière dont nous avions traité le sujet des droits sociaux des auteurs jusqu’à cette période. » Pour rappel, les auteurs et leurs représentants avaient marqué leur colère face, notamment, à l’augmentation…
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