Orange, un géant apaisé mais en manque de relais de croissance
Stéphane Richard part en laissant un numéro un des télécoms apaisé. En fin manager, il a su trouver les bonnes recettes. Son successeur devra entreprendre de nombreux chantiers, notamment concernant la masse salariale du groupe et les nouveaux relais de croissance.
Stéphane Richard ferme la porte à une longue carrière à la tête d’Orange. Onze ans qu’il officie à la présidence de l’opérateur historique. A sa nomination, il avait une mission : permettre un retour à une certaine sérénité après le scandale déclenché par des suicides de salariés. Stéphane Richard s’est parfaitement acquitté de cette première mission. Sous sa présidence, Orange a gardé une longueur d’avance sur ses concurrents locaux, et s’est appuyé sur des revenus solides. Cependant, Le…
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