Financement des oeuvres : « nous sommes dans l’âge d’or de la production de contenus » estime Netflix
La présidence française de l’UE veut faire de la transposition française de la directive Services de Médias Audiovisuels un modèle pour le reste de l’UE, avec des obligations de financement des oeuvres extensives pour les plateformes. Netflix veut jouer le jeu, mais prévient qu’avant d’aller plus loin, les Etats doivent être prudents.
« Le Président de la République a fait de la culture un point cardinal de la présidence française », a déclaré ce matin Thierry Breton en ouverture de la conférence organisée conjointement aujourd’hui par la DGMIC et le CNC. Les acteurs du secteur seront rassurés : Emmanuel Macron n’avait en effet mentionné ce point dans aucun de ces deux grands discours d’ouverture de la présidence française du Conseil de l’UE : son discours à l’Elysée, et son discours devant le Parlement européen la semaine dernière. Le programme de la conférence, intitulée « Rester indépendant pour préserver la diversité créative », était vaste, mais tournait pour l’essentiel autour d’un sujet : préserver la production de contenus passés et à venir en Europe, à l’heure où les diffuseurs les plus puissants sont des plateformes non européennes. L’évènement étant organisé par le CNC, il fut largement question de cinéma, mais aussi d’audiovisuel et , dans une moindre mesure, de jeu vidéo.
SMA
La journée a donné l’occasion à presque tous…
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