Altice France assure que BFM n’est pas à vendre

Dans un entretien paru ce matin dans Le Figaro, le PSG d'Altice France, Arthur Dreyfuss a assuré que les actifs médias du groupe dont BFM n'étaient pas à vendre. Le patron d'Altice pour la France s'exprimait dans un contexte houleux pour l'opérateur de télécommunication qui fait face à des accusations qui touchent Armando Perreira l'un de ses fondateurs et actionnaire ainsi qu'une situation financière marquée par une forte dette. Cette dernière pèse d'autant plus que les intérêts sont remontés en flache depuis plusieurs mois. Arthur Dreyfuss s'est là aussi montré rassurant rappelant que 85% de la dette du groupe était à taux fixe, et que la priorité comme l'avait annoncé début août Pratick Drahi, le patron du groupe, était maintenant au désendettement via la cession d'actifs non stratégiques. Arthur Dreyfuss a déclaré que le groupe avait reçu des marques d'interêt concernant BFM mais que le média n'était pas à vendre, et se portait bien avec une audience "multipliée par trois", un résultat "par cinq".