Deux tiers des auteurs ne souhaitent pas que leurs oeuvres alimentent les IA génératives
L’immense majorité des auteurs visuels et des écrivains n’a aucune envie de permettre l’utilisation de leurs oeuvres pour entrainer des IA, et ce même contre rémunération.
La Société des Gens de Lettres (SGDL) et la Société des Auteurs dans les Arts Graphiques et Plastiques (ADAGP) ont publié vendredi leur observatoire 2024, qui porte, comme son titre l’indique, sur « l’impact des intelligences artificielles génératives sur l’activité et les revenus des artistes-auteurs de l’image et de l’écrit ». Cet opus suit une première enquête commune, publiée en 2023, qui avait porté sur la rémunération des auteurs. L’observatoire publié cette année est basé sur une enquête menée en mai et juin 2024, et à laquelle ont répondu 1614 auteurs, 78% pratiquant les arts visuels, et le reste venant de l’écrit. « Cette enquête vise à mesurer l’impact de l’IA générative d’ores et déjà ressenti par les artistes-auteurs, tant sur…
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