Le retour de la vengeance du Centre national de la musique
La création d’un centre national de la musique est de nouveau d’actualité, maintenant que la CJUE a jugé qu’une taxation des télécoms au profit de la culture n’était pas illégale.
Sorti par la porte, il revient par la fenêtre… Qui donc ? Le centre national de la musique, bien sûr ! La ministre Aurélie Filippetti, à peine arrivée rue de Valois, s’était empressée de tuer dans l’oeuf le dernier, et à peu près le seul, projet d’envergure de son prédécesseur. Officiellement, car il n’y avait pas de financement viable, officieusement car le pré-montage de cet établissement public mettait en péril son homologue du cinéma, en venant piocher dans la même manne financière.
Or, avant d’être ministre de la culture, de toutes les formes de culture, l’occupante de la rue de Valois est avant tout, un ministre…
Profitez d'un accès illimité à nos articles :
Abonnez-vous dès maintenantDéjà abonné ? Connectez-vous ici. Connectez-vous ici.
Suivez-nous sur Twitter: @3l3ctr0nLibr3