« El País », gracias patron ! – Ecrans

« Jusqu’alors, El País était gravement touché par la crise publicitaire, par la gestion néfaste de l’entreprise et par des déclarations à l’emporte-pièce de la direction. Désormais, ce journal est agonisant et, pour beaucoup, mort. Je suis fatigué. Je suis en colère. Ce fut un beau voyage. Dommage qu’il se termine de cette façon-là. » Sur son blog, l’écrivain galicien Manuel Rivas n’y va pas avec le dos de la cuillère pour interpréter les soubresauts qui agitent le journal de référence espagnol, étendard de la transition démocratique au lendemain de la mort de Franco.

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